Une dynamique de classe
Issu d’une famille d’industriels, je m’intéressais depuis tout petit aux sciences et au monde qui nous entoure. Et c’est en classe de 2nde après une année au Pôle Espoir de handball que j’ai commencé à songer à mon avenir. A l’issue de ma terminale S, je n’avais aucune idée du métier vers lequel je voulais me diriger.
C’est alors que la formation en CPGE proposée par le lycée Fabert apparut comme une évidence pour me permettre d’étudier dans d’excellentes conditions tout en intégrant une voie très généraliste. La prépa fait l’objet de beaucoup de clichés (plus de vie sociale, beaucoup de pression, un esprit de compétition…), mais mon père et ma sœur en sont bien sortis vivants. Alors, pourquoi pas moi ?
Les débuts ont représenté une vraie rupture avec le rythme du lycée, mais je me suis assez rapidement habitué au rythme de travail. Le réel avantage de la prépa réside dans l’existence d’une dynamique de classe qui nous incite toujours à travailler et à aucun moment durant l’année je n’ai ressenti une forme de compétition. Je me suis ensuite dirigé en deuxième année vers la PSI* car le programme de cette filière m’intéressait particulièrement et les possibilités de débouchés me paraissaient très larges.
Cette deuxième année était beaucoup plus intense et les concours arrivaient très vite, il ne fallait donc pas perdre le fil.
L’important est de ne rien lâcher et de se donner les moyens.Romain BUONVINO (INSA Lyon)
Grâce à l’accompagnement de tous nos professeurs et à leur soutien, j’ai pu aborder les concours avec toutes les armes nécessaires. J’ai finalement réussi à intégrer l’INSA Lyon. La prépa fut une expérience très enrichissante à la fois sur le plan intellectuel et sur le plan personnel. Certes la charge de travail est conséquente, mais c’est une expérience de vie unique qui m’a permis de rencontrer des personnes formidables.