Contrairement à beaucoup de formations dans l’enseignement supérieur, universitaires notamment, les classes préparatoires prolongent la structure traditionnelle de l’enseignement secondaire en partitionnant les effectifs en groupes de tailles réduites : ainsi, les classes en CPGE n’excèdent pas 48 élèves — et souvent moins —, qui sont régulièrement divisées en groupes pour les TD (mathématiques, physique, informatique), les TP (physique/chimie), ou les cours de langue.

Mais à la différence du lycée, plusieurs disciplines, comme les mathématiques, ou les sciences physiques voire la chimie dans les filières scientifiques, sont enseignées par un professeur affecté à une seule classe. Ce dernier peut donc accorder un temps inégalable au suivi de chaque élève.

• par des devoirs surveillés hebdomadaires ;
• par des devoirs maisons réguliers ;
• par des interrogations ;
• par les incontournables « khôlles », caractéristiques de l’enseignement en CPGE. Voir la page dédiée aux khôlles

Mais l’accompagnement proposé au lycée Fabert est loin de se limiter aux relevés de ces temps de passage. Par exemple,

• des entretiens individuels sont organisés, notamment en première année, pour s’assurer que chacun s’est bien intégré et a trouvé son rythme de travail ;

• les professeurs sont d’une grande disponibilité, même en dehors des heures de cours. Ils apportent leur aide aux étudiants grâce aux outils numériques ou par l’intermédiaire d’heures de soutien, afin de ne laisser personne sur le bord de la route ;

• il est régulièrement proposé aux étudiants de choisir la difficulté du sujet sur lequel ils souhaitent être évalués. En première année, cela leur permet immédiatement de composer sur les sujets les plus adaptés à leurs qualités. En seconde année, c’est un raffinement supplémentaire à la séparation en classe étoilée / non étoilée, qui assure à chacun une préparation presque individualisée au(x) concours qu’il ambitionne ;

• des concours blancs sont organisés, et ce dès la première année, pour amener les élèves à composer au plus près des conditions qu’ils connaîtront le jour J lors des épreuves écrites ;

• en fin de deuxième année, entre les épreuves écrites et orales des concours, les étudiants ont la possibilité de s’inscrire à volonté pour passer des oraux blancs dans le but de préparer au mieux leur sprint final vers l’intégration.

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