Un tremplin
Janvier 2011 : je ne sais pas vers quelle voie me diriger. En pleine Terminale S (spé maths) au Lycée Fabert, mon avenir scolaire est bien trop flou. Mais après les portes ouvertes de la prépa EC du Lycée Fabert et renseignements pris de mon côté, je suis séduit par cette section. La question de la prépa parisienne ne se pose même pas : les résultats ici, « en Province », sont vraiment très bons.
Je me dis que si on veut, si on s’en donne les moyens, on peut aussi y arriver. Et deux ans après je me dis que le choix que j’ai fait était le bon. En comparaison de camarades qui sont passés dans de « grandes » prépas parisiennes, on atteint les mêmes résultats en restant dans un cadre connu, agréable, serein, et surtout humain. Pas de concurrence, juste de l’émulation.
Je recherchais dans cette prépa EC une ouverture d’esprit, et surtout un panel très large au niveau des cours. Entre la géopolitique (HGGMC pour les futurs initiés), les cours de langues, la culture générale et les maths, il y en a pour tous les goûts et tous les profils.
C’est aussi la grosse richesse de cette prépa, la diversité des genres : ce qui fait qu’au final tout le monde a sa place, et tout le monde a sa chance d’atteindre ses objectifs sous réserve de jouer le jeu, c’est-à-dire travailler.Guillaume KIEHL (EM Lyon)
Et donc au final, après avoir joué ce jeu pendant deux ans, j’ai intégré l’EM LYON Business School : l’école en forte croissance sur les classements, et à la vie associative la plus active.
Avec du recul, je suis content d’avoir fini ma prépa EC, mais je suis encore plus content d’y être passé et d’avoir pu profiter d’un tel tremplin et d’une telle expérience.